23
Décembre
2004
|
01:00
Europe/Brussels

LINGUATRONIC DANS LES DEUX LANGUES NATIONALES

A partir du 1er janvier, Mercedes-Benz sera le premier constructeur à proposer en Belgique la reconnaissance vocale dans les deux langues nationales.

Primeur belge chez Mercedes-Benz


A partir du 1er janvier, Mercedes-Benz sera le premier constructeur à proposer en Belgique la reconnaissance vocale dans les deux langues nationales. Réagissant à diverses instructions vocales simples, le système Linguatronic offre de nombreux avantages :
- sélection de stations radio préprogrammées - sélection de pistes à partir du lecteur CD frontal et de pistes/CD du chargeur CD
- sélection de numéros de téléphone préprogrammés & de destinations à l’aide de « voicetags » - sélection de la destination pour le système de navigation (les villes les plus importantes peuvent être citées en intégralité et ne doivent donc pas être épelées.)
- sélection de numéros de téléphone Linguatronic est disponible en option et est proposé de série avec le système de navigation Comand et le système de téléphonie. En combinaison avec le système de navigation de base APS, l’option Linguatronic est facturée à seulement 242 euro. Le système Linguatronic est disponible sur les modèles Classe C, CLK, CL, Classe E, CLS, Classe S et Classe SL.


Dans la voiture également, les systèmes de communication, d’information et de divertissement occupent une place de plus en plus importante. La manipulation des nombreuses commandes demeure difficile et met en outre la sécurité en danger. Si les commandes vocales représentent une avancée majeure, elles exigent de lourds investissements technologiques.

Compromis entre investissement et confort

Les systèmes actuels de reconnaissance vocale ne peuvent comprendre une langue aussi aisément qu’un être humain en pleine possession de ses moyens et qui peut en outre s’appuyer sur sa propre expérience. La compréhension humaine de l’oralité prend également en compte le contexte ainsi que les expressions non-verbales, par exemple le mouvement des lèvres, les gestes ou l’intonation de la voix. Cette capacité lui permet ainsi de continuer à suivre une conversation dans un environnement particulièrement bruyant.
L’ambition des concepteurs n’est pas de créer des automates capables d’écouter et de comprendre aussi bien que l’homme. Les ingénieurs se fixent des objectifs plus limités, qui dépendent des applications concernées. En conséquence, il faut essayer de développer le potentiel de communication minimum indispensable pour la compréhension verbale entre l’homme et la machine. Cette quête est toujours le fruit d’un compromis entre le confort possible et les moyens techniques à adopter.

Conduisez en toute sérénité grâce à la reconnaissance vocale

Il est évident que la technologie de la reconnaissance vocale peut simplifier la conduite automobile. Même si les gestes de la conduite active, c’est-à-dire accélérer, freiner et tourner le volant, demeurent actuellement plutôt abstraits, il est possible de percevoir avec un peu d’imagination le nombre d’applications possibles de cette technologie. Elle pourrait ainsi accroître le confort du conducteur, par exemple en lui permettant de régler le conditionnement d’air, sélectionner une station de radio, choisir un CD, utiliser le système de navigation ou téléphoner. Actuellement, les utilisateurs de téléphone intégrés, même des modèles les plus récents, doivent s’habituer à des commandes très complexes pour utiliser de nombreuses fonctions qui sont parfois activées par des commandes utilisées pour deux ou trois actions différentes.

La sécurité pour tous

Il existe un paramètre encore plus important que le confort : la sécurité. Afin de pousser sur un bouton, d’utiliser une commande, de composer un numéro ou de consulter un répertoire, le conducteur est contraint de quitter la route des yeux. Ces fractions de seconde au cours desquelles notre regard se pose sur l’écran d’affichage de la radio ou les touches du téléphone peuvent nous être fatales. Lorsque le conducteur ôte les mains du volant pour composer un numéro ou saisir le téléphone, le risque d’accident s’accroît.